Voilà quelques années déjà qu’on dénonce la trop fréquente absence des pères, qu’on parle de raréfaction, de crépuscule, de disparition, de déroute. Pour Jean Le Camus, au contraire, les pères n’ont même jamais été aussi présents...
« [...] l’amour d’une mère pour son fils est non seulement une nécessité mais une condition de son bon équilibre et de sa réussite d’homme. Parce que les mères aimantes et fortes permettent à leurs garçons de devenir à la fois forts et sensibles. » A. B.