Ce livre postule l’existence d’une névrose pétrie de connaissance et de sexualité. Ce « complexe des Femmes savantes » apparaît alors comme l’une des signatures de notre modernité.
Où Boris Cyrulnik convoque les déchirures d’écrivains célèbres, les conjugue à l’aune de ses propres souffrances pour mieux convaincre chacun de nous des bienfaits de l’imaginaire, de la puissance du rêve, des pouvoirs de guérison que recèle l’écriture.