Psychologie Tous les ouvrages
Caroline Eliacheff
Vies privées De l’enfant roi à l’enfant victime
Certains enfants sont soumis à la violence. Mais dans quelles conditions, et jusqu’à quel point, l’intervention de la société dans la vie privée est-elle légitime ? La diabolisation des parents ne couvre-t-elle pas aussi parfois une violence institutionnelle ?
Boris Cyrulnik
Les Vilains Petits Canards
Maria Callas, Barbara, Georges Brassens... Ces cas de résilience sont célèbres. Boris Cyrulnik nous montre comment ce processus se met en place dès la petite enfance, avec le tricotage des liens affectifs puis l’expression des émotions.
Boris Cyrulnik
Les Vilains Petits Canards
À travers des cas célèbres, Boris Cyrulnik décrit comment le processus de résilience se met en place dès la petite enfance, avec le tricotage des liens affectifs puis l’expression des émotions.
Jean-Luc Aubert
La Violence dans les écoles
S’appuyant sur son expérience de terrain, Jean-Luc Aubert analyse les causes réelles de la violence à l'école. Et montre comment il est possible de prévenir les dérapages.
Nicole Jeammet
Les Violences morales
La violence morale n’est pas aussi visible que la violence physique, mais tout aussi destructrice. Comment l’emprise, mais aussi l’indifférence peuvent-elles conduire à l’anéantissement de l’autre ?
Philippe Brenot
Les Violences ordinaires des hommes envers les femmes
Les relations de couple modernes nous imposent d’inventer de nouvelles manières d’être ensemble. Impossible de le faire sans admettre l’existence de cette violence ordinaire et sans y remédier de façon à éviter de réveiller la guerre des sexes.
Jean Cottraux
Les Visiteurs du soi À quoi servent les psys ?
« [...] l’humanité a bien vécu sans psy durant des millénaires et elle s’en est très bien portée. Que doit-on attendre réellement des psychothérapies ? Et comment se servir au mieux des psys ? » J. C.
Alain Sauteraud
Vivre après ta mort Psychologie du deuil
« Ce livre a moins à faire avec la mort qu’avec la vie. Il ne traite que de ce qui se produit après le décès, il ne s’adresse qu’aux personnes endeuillées et à ceux qui les accompagnent. Parler du deuil, en fait, n’a qu’un seul objet : parler des survivants. » A. S.