Économie et Finance Tous les ouvrages
Christian Stoffaës
Services publics Question d’avenir
Les services publics à la française doivent être modernisés. Ils incarnaient l’État-providence et les grands projets ; ils sont mis en question par l’ouverture des marchés, la chute de l’économie planifiée, la dérégulation, les privatisations.
Luc Ferry
Face à la crise Matériaux pour une politique de civilisation
La crise que nous traversons n’est pas seulement économique et financière. C’est une crise du sens de la vie commune dans des sociétés dont le seul horizon ne peut plus être celui de la consommation.
Jacques Le Cacheux
Les Français et l’impôt
Débattre en étant informé ; débattre sur les enjeux ; débattre avec des arguments : voilà ce que permet chaque volume de cette collection consacrée aux grandes questions sociales et politiques qui agitent notre pays.
Jean Jouzel, Pierre Larrouturou
Pour éviter le chaos climatique et financier
Et si préserver notre climat était l’un des meilleurs moyens d’endiguer la prochaine crise financière ? Pour sauver les banques, on a mis 1 000 milliards. Pourquoi ne pas mettre 1 000 milliards pour sauver le climat ? Favoriser la spéculation ou sauver le climat ? À nous de choisir.
Jean-Michel Severino, Olivier Ray
Le Temps de l’Afrique
L’Europe a raté le virage d’un continent qui ne nous attend plus. Comment mieux le comprendre ? Démographie, économie, politique, diplomatie, cultures et religions : cet ouvrage présente différentes facettes de cette nouvelle Afrique.
Amartya Sen
Identité et violence
Remettant en cause l’idée de Moyen-Orient et d’Occident monolithiques, revendiquant ses racines indiennes comme ce qu’il doit à la culture des pays occidentaux où il travaille, Amartya Sen dénonce les illusions qui entourent pour lui la notion d’identité aujourd’hui.
Michel Godet, Alain Lebaube, Philippe Ratte
La France des bonnes nouvelles
« Un livre d’un bout à l’autre passionnant et jamais ennuyeux. Il a aussi des vertus plus profondes. Sa force principale, son titre l’indique, est de porter à l’optimisme. On sort de cette lecture ragaillardi et réconcilié, sinon avec la vie en général, du moins avec l’économie. » Michel Rocard.