Éthique Tous les ouvrages
Jean-Claude Carrière
La Paix
« ...la seule définition que nous donnions de la paix : l’absence de guerre. Depuis une trentaine d’années, nous sommes passés dans un autre type de guerre, une guerre grise, presque anonyme, et même innommable, une guerre qui chasse les habitants de tout un pays vers d’autres terres, lesquelles, prises au dépourvu, ne savent ni les accueillir ni les repousser.[...] » J.-C. C.
Jean-Pierre Changeux
Fondements naturels de l'éthique
Sur quoi reposent les normes éthiques ? Sur ce thème, Jean-Pierre Changeux, qui a présidé le Comité national d’éthique, a organisé un colloque en 1991 par la Fondation pour la recherche médicale.
Jean-Pierre Changeux
Une même éthique pour tous ?
Comment envisager qu’une société juste et stable, constituée de citoyens libres et égaux, mais divisés par leurs doctrines morales, philosophiques et religieuses, incompatibles entre elles bien que raisonnables, puisse exister et se perpétuer ?
Christine Courrégé
Le Dossier noir de l'instruction 30 avocats témoignent...
Trente avocats pénalistes racontent ici leurs expériences. Ces récits, des plus anecdotiques aux plus graves, dévoilent tous un malaise. Ils mettent l’accent sur les dysfonctionnements résultant de fautes et de comportements professionnels délibérément dévoyés.
Kathinka Evers
Neuroéthique Quand la matière s'éveille
Les neurosciences bouleversent aujourd’hui notre compréhension du cerveau et conduisent à un renouvellement de la philosophie morale. Ainsi est née tout récemment la neuroéthique.
Luc Ferry, Axel Kahn
Faut-il légaliser l’euthanasie ?
Des voix toujours plus nombreuses s’élèvent pour demander que les malades incurables souffrant de handicaps très lourds ou de douleurs invalidantes chroniques se voient reconnaître le droit de mettre fin à leurs jours avec l’aide de médecins.
Antoine Garapon
Des crimes qu'on ne peut ni punir ni pardonner Pour une justice internationale
Le 1er juillet 2002 naissait la Cour pénale internationale. Cette justice pénale internationale est-elle une « justice de vainqueurs » ou bien une utopie moralisatrice, comme le soutiennent ses détracteurs ?