Catalogue Tous les ouvrages
Jacques Tassin
AgriculTerre Refonder l'agriculture au service de tous
L’agriculture constitue un socle et un projet au service de tous. C’est d’elle que dépend aujourd’hui notre capacité à nous alimenter, à boire une eau potable, à préserver notre environnement...
Jacques Tassin
La Grande invasion Qui a peur des espèces invasives ?
Invasions de frelons asiatiques, de ragondins, d’ibis sacrés, de renouées du Japon… On entend souvent parler de ces nouvelles menaces pour l’environnement. Un raz de marée d’espèces venues d’ailleurs serait-il sur le point d’envahir nos villes et nos campagnes ?
Jacques Tassin
Maurice Genevoix l'écologiste
Maurice Genevoix, grand témoin de la Première Guerre mondiale, prix Goncourt et académicien, était non seulement un écrivain naturaliste, mais aussi un précurseur de l’écologie...
Jacques Tassin
À quoi pensent les plantes ?
Est-il possible de se « mettre à la place » d’une plante, de comprendre ce qu’elle perçoit de ses semblables et du monde extérieur ? Pour découvrir cette « intériorité végétale », rien de tel que le mélange précisément dosé de science et de poésie que propose ce livre. Un excellent petit guide pour pénétrer la vie secrète des plantes.
Jacques Tassin
Je crois aux arbres
Nous ne doutons plus aujourd’hui de notre dépendance aux arbres. Mais nous ne mesurons peut-être pas assez combien nous sommes aussi dépendants de leur présence et de leur beauté.
Jacques Tassin
Penser comme un arbre
« L’arbre semble vouloir s’adresser aux grands primates irrévérencieux que nous sommes devenus. Des primates aujourd’hui perdus au bord du chemin pour avoir sottement oublié qu’ils vivaient sur la planète des arbres. » J. T.
Jacques Tassin
Écoute les voix du monde
« Ce qui s’animait autour de moi m’apparaissait plus vivant dans cette obscurité que si je l’avais observé en plein jour. [...] » J. T.
Pierre-Henri Tavoillot
De mieux en mieux et de pire en pire
Tout va-t-il de plus en plus mal ou de mieux en mieux ? Si tout le monde se plaint, personne ne souhaite pourtant revenir en arrière. Entre nostalgie du passé et crainte du futur, nous adorons détester notre époque. Comment expliquer ce paradoxe ?