Écoute, proximité, caresses, urgence, amour, les hommes politiques jouent à la mère. Dirigeants n’osant plus diriger, citoyens infantilisés attendant tout de l’État : la France est malade de sa politique comme certains enfants le sont de leur mère.
« [...] De même que l’esprit guide la volonté des individus dans leurs rapports aux autres, de même les nations ont besoin d’un esprit pour mouvoir ces facteurs de puissance. [...]. » L. M.