Biologie Tous les ouvrages
Michel Delseny
Des graines, des fleurs et de l'ADN Vers une biologie moléculaire des plantes
Les plantes sont indispensables à notre survie, mais leur connaissance est longtemps restée empirique. Au recensement des quelque 400 000 espèces ont succédé la physiologie végétale puis la génomique, il y a quelques dizaines d’années...
Jean-François Peyret, Alain Prochiantz
La Génisse et le Pythagoricien Traité des formes I
« Pourquoi faire se rencontrer des domaines aussi lointains que la poésie d’Ovide et la biologie du développement ? S’il y a eu rencontre, ce n’était pas pour deviser, mais pour fabriquer quelque chose ensemble : un spectacle. [...] » J.-F. P. et A. P.
François Gros
Les Sciences du vivant Éthique et société
« [...] Puisse cet ouvrage informer sur les avancées scientifiques les plus récentes et contribuer, sinon à une vue unitaire, du moins à un rapprochement des points de vue et à un consensus éclairé. » F. G.
Jacques Ninio
Au cœur de la mémoire
Avec la patience et l’humilité d’un Mendel croisant des variétés de pois, Jacques Ninio s’est livré pendant des années à des centaines de milliers d’épreuves de mémoire visuelle...
Yves Michaud
Qu'est-ce que la vie ? (Volume 1)
Les plus grands spécialistes français sont réunis dans ce volume. Ils éclairent les questions majeures que pose la vie, notamment sa dénition, l’évolution, les grandes étapes du développement humain, la connaissance du cerveau et du comportement.
Académie d'agriculture de France
Le Grand Livre des arbres et de la forêt
À l’heure où nos sociétés amorcent un spectaculaire virage écologique, les forêts sont emblématiques de notre rapport – bien souvent idéalisé – à la nature...
Alain Prochiantz
Darwin : 200 ans
Deux cents ans après la naissance de Darwin, ses idées irriguent plus que jamais les sciences du vivant et nourrissent les réflexions et les débats sur la place de l’être humain dans la nature.
Annick Perrot, Maxime Schwartz
Le Génie de Pasteur au secours des poilus
Sans Pasteur et ses successeurs, les armées auraient très vite été décimées par la typhoïde ou le paludisme. En imposant vaccination et mesures d’hygiène, ils ont ainsi radicalement changé le sort de la Grande Guerre.