Résultat pour le mot clé guerre
Christian Schmidt
Penser la guerre, penser l'économie
Quels sont les liens qui unissent la guerre et l’économie ? L’homo bellicus est-il une autre figure de l’homo economicus ?
Gérard Chaliand
Pourquoi perd-on la guerre ? Un nouvel art occidental
« Dans cet essai percutant, Gérard Chaliand jette un regard lucide et décapant sur les interventions militaires occidentales […]. La profondeur historique de sa vision et la force de son analyse éclairent d’un jour nouveau l’imbroglio syrien. » Hubert Védrine.
Gérard Apfeldorfer
Pourquoi tant de haine Psychologie du ressentiment, de la colère et de la violence
Qui n’a jamais ressenti colère, rancune, mépris ou envie ? Qui n’a jamais été moqué, insulté ?
Marylène Patou-Mathis
Préhistoire de la violence et de la guerre
La guerre est-elle consubstantielle au genre humain ou est-elle inhérente à la construction des sociétés modernes ?
Jean Guisnel, Bruno Tertrais
Le Président et la Bombe
Depuis 1958, chacun des présidents qui se sont succédé a entretenu une relation intime à la « Bombe ». Passionné, converti, dubitatif, réformateur ou apaisé, mais jamais indifférent, le président français est « Jupiter à l’Élysée ».
Michel Tirouflet
Propos sur notre époque
« Quel que soit le thème examiné, on constate que, au fil du temps, la condition humaine s’est améliorée. Nul ne peut nier qu’il existe des exceptions à cette affirmation. Mais, en définitive, cette restriction importe peu. D’autant moins que ces restrictions sont destinées, condamnées, pourrait-on dire, à disparaître. » M. T.
Boris Cyrulnik
Quarante voleurs en carence affective Bagarres animales et guerres humaines
« Pendant les années de guerre, j’ai été privé de toute relation. Après la guerre, j’ai été placé dans une institution. Dans ce désert affectif, où la plupart des enfants s’éteignent, j’ai réussi à m’évader en découvrant les mondes animaux. [...]» B. C.
François Heisbourg
Retour de la guerre
Une guerre comme celles qu’a connues le XXe siècle est-elle de nouveau possible ? « Paix impossible, guerre improbable », écrivait Raymond Aron en 1947 à propos de la guerre froide.


































