Sciences humaines Tous les ouvrages
Daniel Sibony
De l’identité à l’existence L’apport du peuple juif
« Chacun cherche dans l’être des points d’amour qui soient pour lui, qui le “distinguent“, quitte à faire face aux ennuis que ça lui crée, quand il les trouve. Plus généralement, chacun, sujet ou groupe, tente d’exister en partant de son identité[...] » D. S.
Christian Delacampagne
De l'indifférence Essai sur la banalisation du bien et du mal
Le XXe siècle a introduit ce mal absolu qu’est le génocide. Il a aussi inventé une pratique, plus insidieuse, destinée à nous permettre de nous en accommoder : elle consiste à banaliser le mal, en le relativisant ou en galvaudant les mots qui servent à le désigner.
Jean-Jacques Urvoas
De l'indépendance de la justice Le vrai rôle du garde des Sceaux
L’indépendance de la justice entraîne-t-elle nécessairement celle du parquet ? Et quel doit être le rôle véritable du garde des Sceaux ?
Olivier Hamant
De l'incohérence Philosophie politique de la robustesse
Olivier Hamant propose dans ce nouveau livre une philosophie politique inspirée du vivant pour répondre aux bouleversements contemporains.
Françoise Héritier, Boris Cyrulnik, Aldo Naouri
De l'inceste
Nos sociétés, où les relations de parenté les mieux établies ont tendance à se brouiller, favorisent l’inceste et son passage à l’acte.
Patrick Artus, Olivier Pastré
De l'économie d'abondance à l'économie de rareté
« Le monde est en plein bouleversement. Parmi les nombreuses ruptures que nous observons aujourd’hui, la plus fondamentale est sans aucun doute celle du passage d’une économie d’abondance à une économie de rareté [...]» P. A. et O. P.
Antoine Compagnon
De l'autorité Colloque annuel du Collège de France
De l’Antiquité au monde contemporain, dans toutes les cultures, l’autorité, c’est-à-dire la souveraineté, le sacré, le livre, le dogme, a fondé l’ordre social. Elle est donc partout et nulle part.
Luc Ferry
De l'amour Une philosophie pour le XXIe siècle
Il ne s’agit plus d’organiser de grands massacres au nom de principes mortifères qui se voulaient extérieurs et supérieurs à l’humanité, mais de préparer l’avenir de ceux que nous aimons le plus, c’est-à-dire des générations futures. » L. F.