Art et Littérature Tous les ouvrages
Michel Schneider
Prima donna Opéra et inconscient
Je chante, je meurs. Je meurs en chantant. Je chante à en mourir. Voilà tout l’opéra. Faire revenir la prima donna, retrouver la voix perdue, franchir le Léthé séparant le langage de la musique. Chaque opéra illustre ce mythe et ce chagrin.
Alessandro Pignocchi
Pourquoi aime-t-on un film ? Quand les sciences cognitives discutent des goûts et des couleurs
Sans jargon ni pédantisme, une explication originale de nos réactions souvent passionnées face à un film, quel qu’il soit.
Daniel Sibony
Shakespeare Questions d'amour et de pouvoir
Du théâtre de Shakespeare, on retient des phrases cultes, et on ne connaît souvent que certaines grandes pièces. Or c’est un trésor inépuisable – que des lectures peuvent renouveler.
Pascal Griener
La République de l’œil L’expérience de l’art au siècle des Lumières
« Dans ce livre, je tente de dessiner le nouvel objet scientifique qui émerge dans les cabinets, les collections publiques et privées ; j’évoque les grands instruments forgés par le siècle des Lumières et les protocoles de leur usage. [...] » P.G.
Michel Schneider
Musiques de nuit
Ce livre s’adresse à ceux pour qui la musique n’est pas une question de savoir, de culture ou de distinction, mais qui entrent en elle comme dans la nuit. Ceux qui entretiennent avec toutes choses des relations musicales inconscientes.
Henri Meschonnic, Pierre Soulages
Le Rythme et la Lumière
« Voici un livre qui parle avec Pierre Soulages. Un dialogue. Intérieur, plus que formel. Et issu d’un dialogue. Réel, ancien, continué. Ce n’est pas un livre sur. C’est un livre avec. Un livre vers. [...]. » H. M.
Jean-Paul Viguier
Architecte
Jean-Paul Viguier nous parle de sept de ses plus grands chantiers architecturaux. Muséum, Médiathèque de Reims, immeubles, etc. : quoi de commun entre ces différents projets ?
Jean-François Peyret, Alain Prochiantz
La Génisse et le Pythagoricien Traité des formes I
« Pourquoi faire se rencontrer des domaines aussi lointains que la poésie d’Ovide et la biologie du développement ? S’il y a eu rencontre, ce n’était pas pour deviser, mais pour fabriquer quelque chose ensemble : un spectacle. [...] » J.-F. P. et A. P.