Sciences Tous les ouvrages
Emmanuelle Pouydebat
Quand les animaux et les végétaux nous inspirent
Un papillon bleu pour améliorer nos panneaux solaires ? Un martin-pêcheur pour optimiser le TGV japonais ? Des pommes de pin qui inspirent des architectes ? Du venin de mamba noir pour lutter contre la douleur ? La nature parle, écoutons-la !
Georges Charpak
Mémoires d’un déraciné, physicien, citoyen du monde
« Ma carrière de physicien a commencé à 24 ans et a été plus complexe que celle de la plupart des jeunes scientifiques français [...] » G. C.
Ilya Prigogine
La Fin des certitudes
« (...) Nous ne sommes qu'au début de ce nouveau chapitre de l'histoire de notre dialogue avec la nature. » Ilya Prigogine
François Jacob
La Souris, la Mouche et l'Homme
« [...] Le siècle qui se termine s’est beaucoup occupé d’acides nucléiques et de protéines. Le suivant va se concentrer sur les souvenirs et les désirs. Saura-t-il résoudre de telles questions ? » F. J.
Christian de Duve
Génétique du péché originel Le poids du passé sur l’avenir de la vie
« J’aborde dans ce livre la saga extraordinaire de la vie sur Terre à la lumière des dernières découvertes de la science. Cette histoire a abouti au succès démesuré de notre espèce et aux menaces mortelles qu’il fait peser sur l’avenir... »
Caroline Huron
L'Enfant dyspraxique Mieux l’aider, à la maison et à l’école
Votre enfant est maladroit, se cogne partout, il n’arrive pas à s’habiller tout seul, écrit très mal et très lentement… Et s’il était dyspraxique ? Bien que fréquent, ce trouble des apprentissages reste méconnu.
Georges Charpak, Roland Omnès
Soyez savants, devenez prophètes
« Sans la science, on ne peut rien comprendre aujourd’hui au monde moderne. La démarche scientifique nous conduit à nous interroger sur le sens de l’homme, celui du monde qu’il a construit et de l’Univers qu’il habite.[...] » G. C. et R. O.
Michel Cassé
Du vide et de la création
Pour la science moderne, l’Univers n’est pas vide, mais presque. Il appartient au physicien de donner un sens à ce « vide » et à ce « presque ». C’est le but de cette « cosmologie du vide » pour s’interroger sur la nature profonde de la réalité.
