Catalogue Tous les ouvrages
Sébastien Balibar
L'Enfant et le Concerto
C’est l’histoire d’un concert. Un pianiste amateur se met en tête de jouer en public le Concerto en ré mineur de Jean-Sébastien Bach...
Patrick Artus, Olivier Pastré
De l'économie d'abondance à l'économie de rareté
« Le monde est en plein bouleversement. Parmi les nombreuses ruptures que nous observons aujourd’hui, la plus fondamentale est sans aucun doute celle du passage d’une économie d’abondance à une économie de rareté [...]» P. A. et O. P.
Jacques Tassin
Écoute les voix du monde
« Ce qui s’animait autour de moi m’apparaissait plus vivant dans cette obscurité que si je l’avais observé en plein jour. [...] » J. T.
Régis Debray, Jean Bricmont
À l'ombre des lumières Débat entre un philosophe et un scientifique
Quel sens attribuer aujourd’hui aux Lumières, au positivisme, aux sciences humaines ? Comment penser les révolutions de la biologie ou des neurosciences ? Qu’en est-il de l’idéologie et du politique face au retour du religieux ?
Xavier Emmanuelli
Prélude à la symphonie du nouveau monde
« À chaque expérience que j’ai faite des confins de l’homme, […] à travers souffrances et désastres, j’ai senti un peu plus fort que ces fins de monde sont aussi des préludes à un nouveau monde. […] Une catastrophe est pour ainsi dire initiatique. » X. E.
Claude Olievenstein
La Drogue, 30 ans après
« Myriam, quinze ans, vient avec sa mère, qui a entendu parler de Marmottan. [...] Il y a beaucoup de jeunes mais avec la nouvelle misère, on voit aussi des drogués de trente à quarante ans, ce qu’on n’avait pas vu dans les premières années, c’est nouveau. » C. O.
Antoine Pelissolo, Stéphane Roy
Ne plus rougir et accepter le regard des autres
Longtemps négligée par les soignants, l’éreutophobie, c’est-à-dire la peur de rougir, est aujourd’hui l’objet d’études scientifiques qui ont permis de mettre au point des méthodes de traitement efficaces.
Dominique Rousseau, Michel Morvan
L'Erreur N° 2
Pourquoi l’erreur paraît-elle souvent plus intéressante que la vérité ? Peut-être parce que les seules certitudes en science portent sur les erreurs. Faut-il pour autant donner à l’erreur le même statut qu’à la vérité ?