Art et Littérature Tous les ouvrages
Pierre Daix
Pour une histoire culturelle de l'art moderne Le XXe siècle
L’art moderne du XXe siècle trouve son unité dans le refus de l’académisme et les innovations successives.
Alessandro Pignocchi
Pourquoi aime-t-on un film ? Quand les sciences cognitives discutent des goûts et des couleurs
Sans jargon ni pédantisme, une explication originale de nos réactions souvent passionnées face à un film, quel qu’il soit.
Yves Michaud
Qu'est-ce que les technologies ? (Volume 5)
Les plus grands spécialistes sont réunis dans ce cinquième volume. Ils éclairent les grandes questions que posent les nouvelles technologies dans l’éducation et la formation, l’informatique, l’exploration de l’espace, l’énergie, les matériaux, les pollutions et leurs remèdes, la société du risque et de l’extrême.
François-Bernard Mâche
Musique au singulier
François-Bernard Mâche reprend ici la question des universaux en musique et montre en quoi le jeu musical est un jeu poétique et naturel, qui s’esquisse déjà dans le monde animal.
Yves Michaud
Le Renouvellement de l'observation dans les sciences (Volume 9)
Les auteurs de ce volume nous éclairent sur l’évolution des techniques d’observation scientifique les plus actuelles, que ce soit en médecine, en astrophysique, en climatologie ou encore en histoire de l’art.
François Ascher
Métapolis Ou l’avenir des villes
Les grandes villes sont le lieu par excellence où les hommes créent, échangent, se rencontrent. Pourtant, on les rend souvent responsables de tous nos maux.
Jean-François Peyret, Alain Prochiantz
La Génisse et le Pythagoricien Traité des formes I
« Pourquoi faire se rencontrer des domaines aussi lointains que la poésie d’Ovide et la biologie du développement ? S’il y a eu rencontre, ce n’était pas pour deviser, mais pour fabriquer quelque chose ensemble : un spectacle. [...] » J.-F. P. et A. P.
Alessandro Pignocchi
L'Œuvre d’art et ses intentions
Qu’a donc « voulu dire » l’artiste ? Qu’a-t-il recherché ? Cette question peut sembler dépassée ou naïve, comme si l’œuvre se suffisait à elle-même.


































