À la recherche du temps perdu laisse une large place aussi bien à la mémoire de l’histoire qu’à celle de la littérature même. « Toute la littérature vit dans À la recherche du temps perdu. [...] », écrit Antoine Compagnon.
Qu’il décrive le monde musulman à l’aube de l’an mil, qu’il traduise pour nous les contes des Mille et Une Nuits et les poésies jusqu’alors inconnues de la langue arabe, André Miquel s’exerce ici à un travail de mémoire.
« Tous ceux qui aiment Tristan et Iseut aiment Joseph Bedier qui publia, à l’aube de ce siècle, leur Roman, réédité des centaines de fois. (...). » A. M.