Psychanalyse Tous les ouvrages
Danièle Brun
La Passion dans l'amitié
L’amitié n’est-elle pas le théâtre où se rejouent les premiers liens et les premières amours ? Et que se passe-t-il pour que, parfois, l’ami puisse se transformer en ennemi haï ?
Ginette Raimbault, Caroline Eliacheff
Les Indomptables Figures de l’anorexie
Sissi impératrice d’Autriche, l’Antigone de Sophocle, Simone Weil la philosophe et sainte Catherine de Sienne : quoi de commun entre ces femmes ? L’anorexie.
Patrick Bellet
L'Hypnose
Depuis sa découverte, l’hypnose suscite fascination et défiance. Ce livre propose une exploration de l’hypnose contemporaine, de ses mécanismes, de sa pratique et de son éthique. Pour une nouvelle compréhension de l’homme et de la médecine.
Boris Cyrulnik
Parler d'amour au bord du gouffre
Boris Cyrulnik démontre que même ceux qui ont de graves blessures affectives peuvent les transformer en grand bonheur. Il montre comment on s’engage dans le couple avec son histoire et son style affectif, ses blessures et ses victoires.
Catherine Clément, Tobie Nathan
Le Divan et le Grigri
Tobie Nathan utilise l’ethnopsychiatrie pour soigner les migrants. « Tobie Nathan ose préconiser des amulettes, prescrire des sacrifices… Sorcier, gourou, imposteur, IMPOSTEUR ! » Voilà ce qui décida Catherine Clément à y regarder de plus près.
Alain Braconnier
Mère et Fils
« [...] l’amour d’une mère pour son fils est non seulement une nécessité mais une condition de son bon équilibre et de sa réussite d’homme. Parce que les mères aimantes et fortes permettent à leurs garçons de devenir à la fois forts et sensibles. » A. B.
François Roustang
Savoir attendre Pour que la vie change
Face au mal-être, l'auteur propose un cheminement paradoxal : dans le voisinage de nos souffrances extrêmes, laisser surgir, malgré nos peurs, d’autres ressources en nous, pour passer de la souffrance à un art de vivre.
Nathalie Zajde
Enfants de survivants La transmission du traumatisme chez les enfants des juifs
Étayé par des récits finement racontés, ce livre décrit précisément ce que l’on appelle le « syndrome du survivant ». Il montre qu’il est possible aux enfants de survivants de reprendre, grâce à l’ethnopsychiatrie, leur place parmi les vivants.