Philosophie Tous les ouvrages
Joëlle Proust
Penser vite ou penser bien ?
D’où viennent nos stratégies de pensée ? Pourquoi est-on curieux, pourquoi ne veut-on rien savoir, pourquoi a-t-on l’impression d’avoir raison là où on a tort ?
Jean-Pierre Changeux
L'Homme artificiel
Faut-il avoir peur de « l’homme artificiel » ? Où en sont la fabrication d’organes artificiels et la thérapie génique ? Comment nos modes de vie sont-ils bouleversés par la médecine électronique ou la justice informatique ? La biologie synthétique pourra-t-elle fabriquer une cellule vivante ?
Marc Crépon
La Vocation de l’écriture La littérature et la philosophie à l’épreuve de la violence
Il y a dans la violence que doivent aujourd’hui affronter nos sociétés une dimension propre à la langue. C’est cette dimension propre au langage que se propose d’explorer le philosophe Marc Crépon, convaincu que le nœud de toute violence tient d’abord dans la langue et l’usage que nous en avons.
Lucien Sève
Pour une critique de la raison bioéthique
Lucien Sève nous entraîne dans un vaste périple à travers les questions posées par la biomédecine et les problèmes de société qu’elles recouvrent – progrès de la science, rôle de l’argent.
Robert Pippin
Nietzsche moraliste français
On comprendra bien mieux Nietzsche si, cessant de voir en lui un métaphysicien allemand ou le défenseur d’une doctrine naturaliste des instincts, on le considère comme un des grands moralistes français.
Raymond Aron
Critique de la pensée sociologique Cours au Collège de France (1970-1971 et 1971-1972)
Voici rassemblés les deux premiers cours prononcés au Collège de France par Raymond Aron de 1970 à 1972.
Gilles Gaston Granger
Essai d'une philosophie du style
Cet ouvrage propose la définition d’un concept généralisé du style, considéré non plus seulement comme catégorie esthétique, mais comme applicable à tout travail humain.
Colette Chiland
Sois sage, ô ma douleur Réflexions sur la condition humaine
Nul n’échappe à la condition humaine : vieillir, être malade, mourir, souffrir d’être séparé de ceux qu’on aime. L’être humain est soumis à la nature qu’il ne parvient pas à contrôler complètement ; il est dépendant de la société dans laquelle il vit.