Sciences Tous les ouvrages
Christian de Duve, Jean Vandenhaute
Sur la science et au-delà
Christian de Duve retrace son itinéraire intellectuel si original...
Alain Berthoz, Carlo Ossola
Les Libertés de l'improbable
Autour d’Alain Berthoz et de Carlo Ossola, une dizaine de chercheurs d’envergure internationale abordent dans une approche multidisciplinaire les mystères et les ressorts de l’improbable, puissant facteur de créativité aux frontières du possible et de l’impossible.
Alain Prochiantz
Machine-esprit
Qu’est-ce qu’un individu ? Le sens est-il le même pour tous : bactéries, plantes, oiseaux, souris, êtres humains ? La réponse réside dans l’étude du développement, dans les gènes architectes qui nous éclairent sur l’évolution des espèces.
Gérard Berry
L'Hyperpuissance de l'informatique Algorithmes, données, machines, réseaux
Très illustré à travers de nombreux exemples et schémas, ce livre permet de comprendre le mode de pensée inhérent à l’informatique, son fonctionnement et ses concepts, et pourquoi elle transforme en profondeur notre monde en le rendant numérique.
Coralie Chevallier, Mathieu Perona
Homo sapiens dans la cité Comment adapter l'action publique à la psychologie humaine
Pourquoi les humains se souviennent-ils d’un visage rencontré cinquante ans plus tôt, mais oublient de payer leurs factures à l’heure ?
Jean-Pierre Bibring
Mars planète bleue ?
Il y a de l’eau sur Mars, ou plutôt il en reste : on vient de la trouver. La planète rouge aurait donc été bleue...
Jacques Tassin
À quoi pensent les plantes ?
Est-il possible de se « mettre à la place » d’une plante, de comprendre ce qu’elle perçoit de ses semblables et du monde extérieur ? Pour découvrir cette « intériorité végétale », rien de tel que le mélange précisément dosé de science et de poésie que propose ce livre. Un excellent petit guide pour pénétrer la vie secrète des plantes.
Robert Barbault
Des baleines, des bactéries et des hommes
L’homme risque de briser les écosystèmes les plus précieux. Peut-il raisonnablement penser se développer au détriment du monde vivant ? Ne vaut-il pas mieux instaurer un autre rapport à la nature, fait de respect pour le vivant ?




























