Sciences Tous les ouvrages
Philippe Kourilsky
Mes années Pasteur L'âge d'or de la biologie moderne
Acteur majeur de la biologie et de l’immunologie modernes, Philippe Kourilsky raconte ici son parcours de chercheur.
Philippe Kourilsky
Le Temps de l’altruisme Préface d’Amartya Sen, prix Nobel d'économie
« Voici un livre d’un intérêt et d’une importance extraordinaires. [...] ce que nous propose ici Philippe Kourilsky, ce n’est ni plus ni moins qu’une approche inédite de ces questions centrales dans le monde d’aujourd’hui. Un livre magnifique. » A. S.
Philippe Kourilsky
Le Jeu du hasard et de la complexité La nouvelle science de l’immunologie
Le grand livre de l’immunologie par l’un des plus grands scientifiques français.
Henri Korn
Terres promises de notre temps
Enfant d’immigrés polonais juifs laïcs ayant survécu à la France de Vichy avant de devenir un neurobiologiste de renommée mondiale, Henri Korn a toujours porté haut la liberté de penser. Il retrace dans ce livre, conçu comme un roman, les hasards et les éblouissements d’une vie consacrée à la science.
Christof Koch
À la recherche de la conscience Une enquête neurobiologique
L’un des pionniers de l’étude de la conscience explore les bases biologiques de l’esprit subjectif chez les hommes, mais aussi chez les animaux. Il présente le modèle qu’il a élaboré pour résoudre le problème des rapports entre l’esprit et le corps.
Étienne Klein
Le Small Bang des nanotechnologies
Les nanotechnologies recouvrent désormais un spectre très large d’activités fort différentes qui vont de l’électronique dernier cri aux nouvelles biotechnologies en passant par la conception de matériaux dits « intelligents ».
André Klarsfeld
Les Horloges du vivant Comment elles rythment nos jours et nos nuits
Y a-t-il des gens du matin et des gens du soir ? Quel est l’effet sur nos organismes du passage à l’heure d’été ou à l’heure d’hiver ? D’où viennent les symptômes du décalage horaire (jet-lag)...
André Klarsfeld, Frédéric Revah
Biologie de la mort
Pourquoi la plupart des créatures vivantes sont-elles condamnées à mourir « naturellement » même lorsqu’elles disposent d’un environnement favorable et protégé ? La mort est-elle un processus biologique « utile » ?
